Nas - Nastradamus
Nastradanus
S'il y a bien une prédiction qui est passée sous le nez et la barbe de Michel Nostradamus, c'est bel et bien la venue de ce fléau d'album de Nas : Nastradamus. Parti pour former un double album avec I Am... à l'origine (ce qui explique leur proximité dans les plannings de sortie), le plus gros échec artistique de Nas, avec bien évidemment The Firm (navré Karim), paraît en tant qu'entité unique avec tout les aspects négatifs qui en découlent. Aurait-il été préférable d'avoir un double album médiocre (I Am Nastradamus ?) ou bien un bon album et un mauvais album ? Apparemment, Columbia Records a opté pour la seconde solution. Ici, notre MC, décidément en quête de lui-même, adopte les traits de Nastradamus, le prophète afrocentrique con à qui rien ne réussit. Pourtant, si Nas est brillant sur Project Windows (magnifique description de Queensboro), Family (avec Mobb Deep) et Come Get Me (le copie carbone de Nas Is Like, Premo oblige), Esco est bien plus terne dès qu'il s'agit de You Owe Me avec Ginuwine au chant et Timbaland au beat (qui a définitivement décidé de plomber Nas), de Nastradamus avec son doo rag sado-maso, de New World avec son sample carbonisé de Toto, et surtout de Big Girl qui ressemble affreusement au Big Things du précédent album (de la merde quoi). Petite pensée pour God Love Us, track passable mais ramolli par le mauvais travail à la prod de Dame Grease, décidément trop porté sur le bontempi et jouant ses basse avec ses poils pubiens. Pas besoin d'un dessin, cet album pue. De plus, on regrettera que les Bravehearts aient réussi à s'échapper de leur cage pour aller enregistrer leurs rimes stupides... Bref, la prophétie de notre Nastradamus du dimanche n'aura été qu'une blague d'une heure. Seul point marquant : la création du label Ill Will Records avec Nasty Nas dans le rôle du CEO.
_TN
Clip de Nastradamus
Clip de You Owe Me f/ Ginuwine
S'il y a bien une prédiction qui est passée sous le nez et la barbe de Michel Nostradamus, c'est bel et bien la venue de ce fléau d'album de Nas : Nastradamus. Parti pour former un double album avec I Am... à l'origine (ce qui explique leur proximité dans les plannings de sortie), le plus gros échec artistique de Nas, avec bien évidemment The Firm (navré Karim), paraît en tant qu'entité unique avec tout les aspects négatifs qui en découlent. Aurait-il été préférable d'avoir un double album médiocre (I Am Nastradamus ?) ou bien un bon album et un mauvais album ? Apparemment, Columbia Records a opté pour la seconde solution. Ici, notre MC, décidément en quête de lui-même, adopte les traits de Nastradamus, le prophète afrocentrique con à qui rien ne réussit. Pourtant, si Nas est brillant sur Project Windows (magnifique description de Queensboro), Family (avec Mobb Deep) et Come Get Me (le copie carbone de Nas Is Like, Premo oblige), Esco est bien plus terne dès qu'il s'agit de You Owe Me avec Ginuwine au chant et Timbaland au beat (qui a définitivement décidé de plomber Nas), de Nastradamus avec son doo rag sado-maso, de New World avec son sample carbonisé de Toto, et surtout de Big Girl qui ressemble affreusement au Big Things du précédent album (de la merde quoi). Petite pensée pour God Love Us, track passable mais ramolli par le mauvais travail à la prod de Dame Grease, décidément trop porté sur le bontempi et jouant ses basse avec ses poils pubiens. Pas besoin d'un dessin, cet album pue. De plus, on regrettera que les Bravehearts aient réussi à s'échapper de leur cage pour aller enregistrer leurs rimes stupides... Bref, la prophétie de notre Nastradamus du dimanche n'aura été qu'une blague d'une heure. Seul point marquant : la création du label Ill Will Records avec Nasty Nas dans le rôle du CEO.
_TN
Clip de Nastradamus
Clip de You Owe Me f/ Ginuwine